LYSECONCEPT

"Protégeons aujourd'hui ce que l'on nous à confier  hier pour mieux le restituer demain"

Jean-Marius D'Alexandris

Notre site web arrive bientôt

Nous sommes actuellement en train de rédiger les différentes idées et théories qui seront très bientôt publiées sur ce site et partagées afin que le monde entier ait la chance d'accéder à ces connaissances.

Voici un aperçu de ce que nous avons trouvé jusqu'à présent :

DÉCOUVERTE 

 

Lors d’une intervention sur une colonne verticale d’eau usagée d’un immeuble de 8 étages obstrués, durant les semaines précédentes de ma supposée « découverte », des circonstances se sont succédées tout naturellement pour me diriger vers elle. 

 

Je me suis empressé de faire un récapitulatif de tous les instants étranges qui m’ont  progressivement amené à ce ressenti dù à l’observation d’un écoulement de liquide dans une canalisation verticale encastrée dans le mur proche du point d’eau. Le liquide faisait du bruit en tombant, ce n’était pas bouché plus bas, la canalisation était désobstruée sur le pied de colonne. 

 

On venait de m’informer d’une solution biologique de détartrage de canalisation constituée de deux produits qui pouvaient « nettoyer » les colonnes d’eau usagée. 

Le protocole d’application : injection du produit préparateur suivi, trois à quatre jours après, du produit nettoyeur biologique. 

 

La colonne s’est désobstruée sans que j’aie encore appliqué le second produit. L’action de détartrage de la colonne d’eau usagée ne provenait pas, ni de l’association des deux produits, ni du produit nettoyeur. 

 

Conclusion :  L’action du préparateur de canalisation avait stimulée l ‘environnement biologique présent dans la canalisation. 

 

Qu’est ce qu’une obstruction ? Qu’est ce que le biologique ? 

  

L’obstruction  
C’est un amas de matière grasse calcifiée sur un coude de la canalisation.  C’est l’obstruction qui, souvent, est progressive, jusqu’à être définitive. 

 

Le biologique 

Toute matière organique, ou d’origine organique, que l’on injecte dans la canalisation avec l’eau de nettoyage. Le deuxième produit contenait entre autre des bactéries lyophilisées. 


 

Le principe de théorie. 

 
Pour évoluer, je me suis appuyé sur l’idée qui m’est venu à l’esprit d’avoir fait une découverte. J’ai multiplié les expériences de la situation initiale de ma découverte, dans toutes les conditions possibles qui m’ont été offertes, pour comparer les retours de données. J’ai pris cela comme un jeu surtout quand j’allais en clientèle pour un écoulement d’eau usagée, bouché. Beaucoup de gens m’ont accordé un certain crédit à ce que je voulais faire chez eux.avec en retour, de très bons résultats comme de très mauvais. Deux à trois ans durant lesquels je me suis énormément documenté avec le monde scientifique des laboratoires biologiques, sur internet et auprès des services de l’assainissement. Tous ces travaux de recherche et d’expérimentations m’ont ainsi permis d’avancer une première théorie. 

 

1ère théorie : J’avais découvert « l’assainissement biologique ». 

 

– recherches sur le sujet de l’assainissement conventionnel, 

– visite de stations d’épuration 

– invité à participer à la foire biologique de SIGNES où j’ai fait connaissance avec la fosse septique. 

 

2éme théorie : Assainissement biologique = fosse septique 

 

Après avoir plongé dans de nombreuses fosses septiques je fais le constat que la fosse septique n’a de «  septique »  que le nom. La fosse septique est en dysfonctionnement biologique, et ainsi, ne peut donc pas être septique. 

 

3éme théorie : Le procédé « fosse biologique ». 

 

Je dois arriver à mettre au point la réalisation d’une fosse réellement « septique ». Par une chance inouïe, une personne qui m’a vu à la foire de Signe me demande de mettre mon concept chez elle. Je crée mon procédé « fosse biologique » en m’appuyant sur mes connaissances acquises en tant que mécanicien aéronaval, ainsi que sur les paramètres hydrauliques naturels. 

Le principal travail de sa conception fut d’incorporer le maximum de paramètres biologiques afin de pérenniser l’environnement bactérien vivant qui s’y trouve. J’ai réussi à y introduire 14 paramètres. 

 

4éme théorie : Une Biotechnologie 

 

Une pratique biotechnologique utilisée dans les recherches exploratrices des laboratoires d’analyses médicales : une technologie contenant de la biologie,  identique à celle du procédé « fosse biologique » qui devint une « biotechnologie ». 

 

5éme théorie : L’évolution d’une invention 

 

Toute invention évolue quand elle se développe en condition générale de fonctionnement usuel de ce pourquoi elle fut conçue. Cela permet une récolte continuelle de nouvelles données et d’informations, ainsi que l’observation comparative de résultat, du système existant. 

Une invention d’usage de traitement d’eau usagée ne peut se perfectionner que sur un point de production d’eau usagée dans les conditions de sa production. Habitat, restauration, école, artisanat et industrie. 

 

6éme théorie : Eau usagée et « eau usagée » 

 

L’eau usagée s’exprime de nos jours sous la forme de multiples sources d’eaux usagées. Chaque déversement diffère dans de très nombreux paramètres et constituants, tels que les eaux usées de laboratoires, les eaux usées des domaines médicaux, les eaux usées des lieux publics, celles des résidences privées, la quantité de produits de nettoyage, le nombre d’utilisations par jours de ces produits chimiques, la flore bactérienne des utilisateurs, les éléments extérieurs, etc. 

L’eau usagée est constituée d’une partie « eau »* d’origine, empreinte d’éléments intrusifs, qui sous l’influence de leur nature, de leur poids et de leur consistance, occupent tous les niveaux de « l’eau » du fond jusqu’à sa surface. 

 

7éme théorie : La pollution. 

 

Dans l’eau usagée on trouve deux types de « pollution » de « l’eau » : 

- la pollution en suspension de matière visible à l’œil nu. 

- la pollution dissoute, visible par la teinte de l’eau constituée de molécules biochimiques, chimiques, acides,huile, graisse. 

 

8éme théorie : Traitement 

 

Un traitement s’effectue suivant un protocole d’application. Diagnostiquer le problème qui dans le même temps définit la cause du problème qui devient alors la cible du traitement planifié par une action « de détruire, extraire, séparer » ayant en pointe de mire la disparition du problème. L’action de « détruire, extraire, séparer » ne s’effectue que par l’usage « d’un moyen dans un temps imparti » avec effet comparatif immédiat du probléme avant et après l’action. 

 

 

9éme théorie :  L’action 

 

La notion d’un traitement par l’application d’une action de « détruire, extraire, séparer » de « l’eau », de nombreuses cibles en conglomérat et de natures différentes est inenvisageable surtout pour une question de moyens spécifiques et de temps limité par la production d’eau usagée du jour qui doit prendre la place de la production de la veille. 

L’action de « détruire, extraire, séparer » ne « nettoie » pas « l’eau » de la totalité des diverses pollutions qu’elle contient. L’action du biologique n’intervient que sur  le biologique. 

 

10éme théorie : le nettoyage 

 

Une action de nettoyage peut remplacer le choix d’une action de « détruire, extraire, séparer », c’est le nettoyage qui comprend deux principes élémentaires : le préventif et le nettoyage. 

Le préventif consiste à préserver les caractéristiques biologiques de l’eau usagée de la pollution par des produits chimiques. 

Le nettoyage primaire consiste à détruire toute trace de matière biologique tout en réduisant la toxicité du milieu. 

Le nettoyage secondaire consiste à disperser le rejet liquide sur un exutoire végétalisé. 

 

11éme théorie : la bactérie 

 

La chance m’a mise en relation avec une docteresse en psychiatrie passionnée de biologie. Elle m’a donné un livre très explicite par son titre : les précurseurs de la biologie qui fut mon livre de chevet durant des années. On y trouve l’infiniment petit vivant de notre planète, découvert par l’horloger Néerlandais, Mr Leeuwenhoek, à qui l’on attribua cette découverte deux cents ans après sa mort. 

Une bactérie morte dans la nature n’existe pas pour deux raisons : La première est que toute bactérie morte est automatiquement détruite par une bactérie en vie qui en plus récupère la pile énergétique de sa congénère. Une thèse de doctorant conclue que les boues d’assainissement contiennent environ 8 % de bactéries mortes. La deuxième raison, c’est que la bactérie se renouvelle toutes les 20mn parr le processus de la scissiparité. 

 

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